"Vous comprendrez un jour que je ne suis pas étrange mais que mon génie est incompris !"
Môna'k Uruloki
Qui suis-je ?
Avatar : Attends j’vais le dessiner Nom : Uruloki Prénom : Môna’k Age :19 ans Sexe : Masculin Lieu de naissance :Capitale d’Hetenlaüd Famille :La famille noble Uruloki, on peut notamment cité : son père Caesar Uruloki, sa mère Naemoïa Uruloki, etc Lieu de résidence : Panlaüd Groupe :Gardiens Métier / Rôle / Rang :Apprentis en fin d’apprentissage
Description Psychologique et physique
Eh bien Môna’k… c’est un bon grand garçon bien sympathique, mais un peu taquin ? Il a la banane et ça fait plaisir à voir mais il faudrait qu’il arrête avec ses blagues un jour parce qu’il commence à manquer d’inspiration… enfin bref, il arrive toujours à trouver de nouvelles choses farfelues, on va donc pas se faire de soucis de ce côté-là. Môna’k est une personne très dévouée et qui a bien gagner en maturité -du moins c’est ce qu’il dit- avec sa formation, qui arrive à terme. Et il faut dire qu’il est plus dévoué que sa Laüd, Leöhne, ce qui est déjà un exploit. Jeune homme brave et loyal, sa bravoure et son esprit de rébellion peuvent parfois le rendre un peu défiant, un peu provocateur, mais en toute sympathie. Il est naïf et souvent dans la lune, c’est un jeune assez rêveur qui rêve d’un monde meilleur. Il est parfois assez prétentieux mais le fait le plus souvent pour rigoler, mais cela fait de lui une grande gueule. Il est assez unique dans sa tête parfois quand même… Atteins d’un peu de paresse, il n’est pas rare de le voir souffler ou de partir s’avachir quelque part après avoir fait son travail. Néanmoins ça ne l’a pas empêché de suivre avec soin les enseignements, montrant d’excellente capacité en archerie, au point qu’il est capable de viser une cible depuis le dos de sa Laüd en mouvement, paraîtrait-il que derrière ses yeux noirs se cache une très bonne vue et derrière ses blagues une capacité de concentration insoupçonnée. Il est également confiant en ses capacités, et ne doute pas de lui ce qui l’aide à prendre des décisions rapidement. C’est quelqu’un de vif et dynamique, tanto agréable tanto un peu encombrant celons le contexte. Ça se voit dans ses mouvements : il est agile le bougre, en plus d’être rapide ! La vigueur de ces 19 ans il faut croire.
Môna’k est un grand garçon un peu fin, un peu svelte, mais au cuir dur. Sa peau basanée parsemée de petites cicatrices en est la preuve. Il a même une apparence un peu bizarre, dont ses dents. Ses canines sont un peu plus développées que pour un être humain banal. Bien que cette différence soit légère, elle est suffisamment marquée pour être dérangeantes quand on ne s’y attend pas. Surtout qu’il a tendance de passer d’une expression neutre assez sympathique et agréable a un très grand sourire qui montre toutes ses jolies quenottes toutes blanches. Au naturel, il a un visage souriant et sympathique, mais lorsqu’il est vraiment content, son sourire est si grand qu’il semble presque exagérer. Son visage a d’ailleurs des traits plutôt simples, assez fins, donc ce sourire et ces dents surprennent. Ses yeux sont noirs comme l’encre, et ses cheveux épais et longs noirs corbeaux, agrémentés de quelques tresses. Son menton est délimité par une barbe de trois jours, un peu mal rasée. Je n’irai pas jusqu’à dire que Môna’k se néglige mais son apparence n’est pas sa priorité première et il trouve cette petite barbe mal rasée particulièrement esthétique. Il se vêtit principalement de noir et de vêtements pratiques pour les déplacements, arborant un veston en cuir noir bien épais sur son torse, mais également des brassards similaires sur ses avants bras. Il se balade presque constamment avec un arc long et deux dagues, ainsi qu’avec des fioles à sa ceinture. Il porte également une cape à capuche et un carquois en bois d’ébène qu’il a décoré en gravant quelques motifs de plumes et de rapaces.
Description Historique
Môna’k… petite crapule… tu n’avais encore que cinq ans quand ta famille à commencer à te renier… fils de la noblesse Hetenlaüd, ton caractère flamboyant et ta curiosité croissante te mettait constamment dans les pattes de tes parents, n’est-ce pas ? Tes manières défiant les manières de la noblesse faisait de toi un poids, une présence gênante qu’il fallait excuser à chaque instant… mais qu’est-ce qui a stimulé tant de dissidence lors de ta prime jeunesse ?
Il faut savoir que Môna’k quand il était petit n’a plus rien à voir avec ce qu’il est aujourd’hui, aussi bien physiquement que mentalement. C’était un petit garçon à l’apparence modèle, un peu poudré pour avoir un teint pâle, presque blanc et pur, et ses cheveux corbeaux étaient courts et peignés parfaitement, portait des vêtements élégants montrant sa richesse et son rang. Il est maigrichon et pas solide sur ses guiboles au premier abord, mais il en avait à revendre. Il a toujours eu la volonté de trouver sa propre voie, et il faut dire qu’il l’a trouvé… à l’encontre de sa famille lorsqu’il était très jeune. Un beau jour, ciel assez gris, vent frais, il n’allait pas tarder à pleuvoir, le jeune Môna’k traverse avec sa famille et accompagnés de quelques gardes les merveilleux bas-fonds miséreux de la capitale pour… on ne sait quel rendez-vous douteux ; mais passons. Et puis ce n’est pas comme si la corruption était quelque chose de rare non ? Ahem. Au cours de leur incroyable pèlerinage au travers de ces quartiers désolés, quelque chose d’horrible se produisit. Au premier abord, ça pouvait paraître anodin. Une mendiante qui s’accroche à la robe de la mère de Môna’k pour lui demander quelques pièces. Quoi de plus banal que la pauvreté qui s’accroche à la richesse ? Môna’k qui n’avait jamais connu la misère et qui l’observait pour la première fois était néanmoins horrifié qu’un être humain pouvait tomber aussi bas, dans tant de misère et dans tant de souffrance. Comment cela était-il possible ? Pourquoi est-ce que personne ne s’occupe de ces gens ? « Père, pourquoi personne ne s’occupe de ces gens ? -Gardes. » Caesar Uruloki leur ordonna de « s’occuper » de la femme. Sauf que ce que Môna’k et son père entendaient par « s’occuper du bas peuple » n’était pas la même chose. Absolument pas la même chose. Afin que la mendiante hôte ses doigts « sales » de la robe de la noble mère, le premier garde l’affubla d’un coup de pied dans les cottes. La femme se recroquevilla et dans sa stupeur sa poigne se resserra, pas par acharnement, mais par stress, par douleur, et le second renchérit. Ils continuèrent jusqu’à ce que sa main se desserre. Ce jour-là Môna’k c’était évanouit pour la première fois de sa vie, après avoir manqué de vomir : un jeune noble devait savoir se retenir.
Et honnêtement je ne sais pas si la mendiante a survécu. Et ainsi Môna’k n’a jamais sut de quel rendez-vous il était question, il était inconscient. Et ses parents n’ont plus jamais daigner à lui en parler.
Et donc… c’est à partir de ce moment que le jeune Môna’k à commencer à faire des bêtises. La première fois, c’était un soir de printemps frais, où la lune était pleine et permettait une bonne visibilité. Dans la pénombre et sur le dos de son cheval, un jeune étalon noir, il quitta l’enceinte du manoir. Quand Môna’k était petit il y avait bien deux choses pour lesquelles il était particulièrement doué : l’équitation, et le tir à l’arc. Bon évidemment à cet âge-là son niveau n’était pas extraordinaire non plus mais on pouvait remarquer qu’il avait certaine aisance, surtout lorsque c’était pour quitter le manoir en douce. Même à dos de cheval il pouvait passer la surveillance sans aucun problème, mais c’était plus particulièrement grâce au fait que le cheval était bien dressé et surtout qu’il était noir comme la nuit.
Cette nuit-là il ne fit rien d’extraordinaire si ce n’est que de se balader. Mais cet acte remettait toute l’autorité de ces parents en question. Môna’k n’était sûrement pas autorisé à sortir de nuit, seul, sans même en demander l’autorisation. C’était un acte de désobéissance délibéré et le premier qu’il n’eut jamais commis. Il ne se serait probablement pas fait prendre si il avait pu être conscient de ces capacités, car à minuit le cheval était rentrer en trottinant, le jeune garçon endormis sur sa selle. Il se fit passer un savon et ne recommença pas une telle opération avant ses sept ans. A force de sortir en douce il commença à rencontrer des gens et a se créer des objectifs. Pendant une certaine période il sortait presque tous les jours avec quelques pommes et rations. Il passait au galop dans les rues, dérangeant les civils qui devaient s’écarter de son chemin pour éviter la course du cheval noir. Môna’k avait rencontrer deux enfants, à peine plus jeunes que lui. Ils étaient abandonnés, dans la rue. Il ne désirait que les aider et passer du temps avec eux.
Cependant, sa famille ne soutenait pas une telle activité et une telle dissidence, qui ne faisait que leur apporter des problèmes. Un jour ils prirent soin de l’enfermer dans sa chambre. Sa chambre, au troisième étage… ils le surveillèrent de près pendant une semaine et il ne parvint à se faire la malle de nouveau que plusieurs mois plus tard. Et il eut de plus en plus de mal à fuguer. En tant que jeune noble, il devait s’entrainer, apprendre. Le plus problématique était l’entrainement au combat… Môna’k pouvait se débrouiller, mais ce n’était en rien de comparable à ce qu’il pouvait faire en archerie ou en équitation. Non, pour le combat, son niveau était des plus banals, voir il était un peu retard sur le programme d’entrainement. Afin de « rattraper » ce retard ses parents décidèrent que l’entrainement devait être durcit. En réalité, ce n’était que de la rancœur et le seul objectif de cet entrainement était de lui inculquer les bonnes manières une bonne fois pour toute. Ce qui aurait pu marcher si Môna’k n’était pas aussi rebelle et aussi… niais. Il avait une vague idée que c’était à cause de ses sorties mais ça ne percutait pas trop dans son crâne.
Ainsi Môna’k gagna deux choses. Les nombreuses cicatrices sur son corps, minime car il fut bien soigné… il était fils de noble, quand même. Et ensuite, son agilité. Il apprit plus vite à fuir et à esquiver qu’à répliquer et à bloquer. Ce qui était relativement difficile pour son âge… et oui, bloquer les coups d’un adulte quand t’as 7 ou 8 ans c’est pas facile… il fut souvent traité de petit lâche, mais dans sa tête, Môna’k n’en avait rien à faire. Il minimisait ses blessures et c’était le principal. Au prime abord, les premiers intensifs qu’il avait suivis l’avait rendu incapable d’essayer de s’enfuir, parce qu’ils étaient trop fatiguant et douloureux. Alors, il fallait minimiser la fatigue et la douleur. Il n’y parvint pas tout de suite, mais au fil des semaines… après quelques mois il parvint à s’enfuir de nouveau. Mais jamais il ne retrouva les deux enfants dans la rue…
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Pseudo : J’en ai trop, et des trop longs, appelez-moi Mô, Môna ou ce que vous voulez mais on gagnera du temps Age :18 aaaaaans je suis majeur enfin ! Comment avez-vous connu le forum ? Top site Code du règlement :Validé !
Môna'k Uruloki, l'effronté [en cours, manque fin histoire+avatar]
Argent
"Vous comprendrez un jour que je ne suis pas étrange mais que mon génie est incompris !"
